La reprise d’une voiture doit respecter certaines étapes, à savoir l’évaluation de sa valeur afin de permettre les négociations entre vendeur et repreneur. En effet, il est important de connaître la cote du véhicule sur le marché de l’automobile afin de ne pas le surévaluer ou le sous-évaluer. C’est généralement la cote Argus qui est prise en compte.
Les éléments clés de l’évaluation
Les informations suivantes constituent les éléments définissant la valeur de la voiture :
- le kilométrage qui équivaut au nombre total de kilomètres parcourus depuis la première mise en circulation du véhicule. Plus le kilométrage est élevé, plus la valeur déprécie. Certaines pièces doivent avoir été remplacées en raison de leur usure par rapport au kilométrage effectué, pour la sécurité aussi bien de l’automobiliste que des autres usagers de la route.
- la date de première mise en circulation
- la marque : les classiques trouvent plus facilement repreneur, à la différence de celles qui sont moins connues dont l’écoulement sur le marché de seconde main sera plus ou moins incertain
- le type : berline, fourgonnette, coupé, cabriolet, tout-terrain, camion, etc.
- la puissance fiscale ou administrative : c’est à partir de celle-ci qu’est calculé le bonus ou le malus écologique, et ce, en fonction du volume émis de gaz carbonique, par gramme et par kilomètre.
D’autres éléments sont également pris en considération lors de la reprise de voiture :
- les options : toit ouvrant, airbag, siège réglable en hauteur, climatisation, ordinateur de bord, jantes en alliage, GPS et encore bien d’autres. Plus la voiture est équipée de ces options, plus sa valeur est élevée.
- la couleur
- et bien entendu l’état général du véhicule, aussi bien du point de vue mécanique qu’électrique et électronique. Il en est de même pour la carrosserie et l’habitacle.